Guillaume Weil

Photographer
GWeil Infographies
Public Project
GWeil Infographies
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Updated Jan 2011

Je réalise des infographies de fleurs, d’êtres inexistants, impossibles à voir en petit format, et encore moins sur ordinateur ! L'image contemporaine diffusée à grande vitesse sur de multiples canaux perd son origine, son identité, elle n'a plus de temporalité propre. Les images qui accompagnaient le temps qui passe et qui se jouait de notre vanité appartiendraient-elles à une époque révolue ? Nos cinq sens ont perdu le fil des saisons. Google se fait un plaisir à créer du bruit documentaire assourdissant. Il ne nous reste que l'odeur de l'électricité, le goût aigre-doux du souvenir, une vue incertaine et trompeuse qui nous fait toucher des chimères.

Mes infographies, composées de fragments photographiques récupérés sur internet, de mires, de détail à l’échelle réelle 1 : 1, perdent forcément leurs informations avec une définition réduite d’écran ou un support trop petit. Mes œuvres sont actuellement des tirages en grand format supérieur au m2.

Quelques reproductions numériques donnent malgré tout un aperçu de mon travail sur les sites Photographismes http://photographismes.perso.sfr.fr/ et Digitalarti http://www.digitalarti.com/fr/user/gweil qui, à plusieurs reprises, m’a signalé dès sa page d’accueil. D’autres sites ont parlé aussi de mon travail, montrant quelques infographies, mais de façon nettement moins importante. Et j’ai une adresse artistique facebook http://fr-fr.facebook.com/people/GWeil-Infographies/100001638228818 . On peut y découvrir mes errements, mes trouvailles, mes essais et récréations. C’est en quelque sorte mon carnet de croquis virtuel.

 

I realize computer graphics of flowers, non-existent beings, impossible to see in small size, and even less on computer!  The contemporary image spread, broadcasted at high speed on multiple canals loses its origin, its identity, it does not have appropriate temporality anymore. The images which accompanied the time which passes and which deceived our vanity they would belong to a bygone days? Our five senses lost the thread of the seasons. Google indulges to create of the deafening documentary noise. We have only the smell of the electricity, the bitter-sweet taste of the memory, an uncertain and misleading view which makes us get fancies.

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