Public Project
Nothing new in Dzaleka
Despite this difficult situation, the biggest enemy of the inhabitants is boredom. If they cannot find a job, many turn to religion: there are nearly 200 churches in the camp. This wandering through the camp tries to show the slowness in which the refugees live.
Le camp de Dzaleka est ce que l’on pourrait appeler une ville de réfugié. Maison de 41 000 âmes, essentiellement congolaises, mais aussi du Burundi, du Rwanda, et d’Éthiopie, ce camp – ville semble être suspendu du temps. Plusieurs familles possèdent trois générations à Dzaleka, mais ceux qui sont nés sont malheureusement apatrides et ne pourront potentiellement quitter le camp. Certains le peuvent grâce à des autorisations spéciales dans les rares cas où ils trouvent des emplois à Lilongwe, la capitale du Malawi.
Malgré cette situation difficile, le plus gros ennemi des habitants est l’ennui. À défaut de se trouver un emploi, beaucoup se tournent vers la religion : il existe près de 200 églises dans le camp. Cette errance à travers le camp tente de montrer cette lenteur dans laquelle vivent les réfugiés.
Malgré cette situation difficile, le plus gros ennemi des habitants est l’ennui. À défaut de se trouver un emploi, beaucoup se tournent vers la religion : il existe près de 200 églises dans le camp. Cette errance à travers le camp tente de montrer cette lenteur dans laquelle vivent les réfugiés.
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