Focus:Director, Documentary, Art, Director of Photography, Communications, Artist, Arts Journalism, Associate Communications Manager, Communications Coordinator
Olivia Butters. Watsan manager en pleine discussion avec Willy Elzy, responsable de la surveillance de la qualité de l’eau sur le site de traitement d’eau potable à Fond Tortue. Pierre Michel Jean | K2D (Fond Tortue, Baradères, october 2021)
Des travailleurs journaliers de MSF-Hollande compilent les kits de Non Food Items en vue d’une distribution prochaine par les équipes de MSF-Hollande aux victimes du tremblement de 14 août 2021 à Baradères. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021)
Des travailleurs journaliers de MSF-Hollande confectionnent les kits NFI (Non Food Items) en vue d’une distribution prochaine par les équipes de MSF-Hollande aux victimes du tremblement de 14 août 2021 à Baradères. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021)
lande et deux autres autres infirmières inspectent le pied d’un enfant malade au cours de la clinique mobile de Carrefour mitan. Pierre Michel Jean | K2D (Carrefour Mitan, Baradères, october 2021)
Jean Mario Niclis (34) est pêcheur et père de 5 enfants. M. Niclis habite à l’embouchure de la Rivière de Baradères. Pour venir chercher de l’eau potable au silo de distribution mis en place par MSF, M. Niclis doit remonter la rivière pendant 1H.” Après le tremblement de terre les structures étaient endommagées, l’eau n’arrivait plus par les fontaines, nous utilisions l’eau de la rivière que nous laissions poser pendant un temps, histoire d’enlever le dépôt de sable que traitions avec du chlore. Aujourd’hui que cette structure est là nous pouvons elle nous est très utile”. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021)
Bety Maçon, HP de la Clinique Mobile de MSF-Hollande en pleine animation d’une séance d’hygiène à l’école Nationale de Fond Palmiste. “J’emprunte beaucoup à ma formation d’institutrice pour parler et animer les ateliers et sensibilisation à l’hygiène que je fais pour le compte de MSF-Hollande. Beaucoup de gens qui suivent ces séances apprennent maintenant les conséquences sanitaires qui peuvent résulter du fait de déféquer en pleine nature ou même dans la rivière. C’est à chaque des petites satisfactions.” Pierre Michel Jean | K2D (Fond Palmiste, Baradères, october 2021)
Bety Maçon, HP de la Clinique Mobile de MSF-Hollande en pleine animation d’une séance d’hygiène à l’école Nationale de Fond Palmiste. “J’emprunte beaucoup à ma formation d’institutrice pour parler et animer les ateliers et sensibilisation à l’hygiène que je fais pour le compte de MSF-Hollande. Beaucoup de gens qui suivent ces séances apprennent maintenant les conséquences sanitaires qui peuvent résulter du fait de déféquer en pleine nature ou même dans la rivière. C’est à chaque des petites satisfactions.” Pierre Michel Jean | K2D (Fond Palmiste, Baradères, october 2021)
Jean Moïse Dafinis (38) et sa fille de 3 ans accidentée à la bicyclette à la jambe droite. “À la suite de l’accident j’ai été jusqu’à Pestel, la ville la plus proche, pour la faire soigner. J’ai payé les frais des premières interventions, mais il ne me restait plus d’argent pour les médicaments. Je suis rentré avec ma fille en attendant d’avoir le frais demandé. L’éloignement des centre de santé est une contrainte, puisqu’en plus de payer les frais d’hopitaux, il faille aussi payer le transport. Souvent pour faire face à ces contingences, nous sommes obligés d’emprunter aux Voisins.” Pierre Michel Jean | K2D (Fond Palmiste, Baradères, october 2021)
Daniel Jean Francois (5), Watsan superviseur, sur le site de traitement d’eau d’eau de Baradères. En raison des dommages occasionnés par le tremblement de terre du 14 août 2021, le réseau de distribution d’eau de Baradères ne fonctionne plus. MSF-Hollande grâce à ce centre de traitement d’eau a pris le relais et permet aux riverains de plusieurs zones de la ville à continuer à s’approvisionner en eau potable de qualité. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021) “Au début les riverains avaient pas mal de peurs et doutes par rapport à notre procédé de traitement d’eau. Ils voyaient que nous récupérions l’eau de la rivière pour la traiter et ensuite la distribuer aux fontaines. Ils n’étaient pas convaincu. Notre méthode de traitement est standardisée et validée par l’Agence Nationale qui a autorité en la matière. Ce n’est que quand les gens ont vu que nous aussi utilisions cette eau pour notre consommation et tout le reste que les doutes commençaient à être dissipé. Aujourd’hui, l’eau n’est plus suffisant pour tout le monde, les riverains sortent leur récipients à l’heure où ils savent que les camions vont arriver. “
Daniel Jean Francois (5), Watsan superviseur, sur le site de traitement d’eau d’eau de Baradères. En raison des dommages occasionnés par le tremblement de terre du 14 août 2021, le réseau de distribution d’eau de Baradères ne fonctionne plus. MSF-Hollande grâce à ce centre de traitement d’eau a pris le relais et permet aux riverains de plusieurs zones de la ville à continuer à s’approvisionner en eau potable de qualité. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021) “Au début les riverains avaient pas mal de peurs et doutes par rapport à notre procédé de traitement d’eau. Ils voyaient que nous récupérions l’eau de la rivière pour la traiter et ensuite la distribuer aux fontaines. Ils n’étaient pas convaincu. Notre méthode de traitement est standardisée et validée par l’Agence Nationale qui a autorité en la matière. Ce n’est que quand les gens ont vu que nous aussi utilisions cette eau pour notre consommation et tout le reste que les doutes commençaient à être dissipé. Aujourd’hui, l’eau n’est plus suffisant pour tout le monde, les riverains sortent leur récipients à l’heure où ils savent que les camions vont arriver. “
Akiko matsumoto, medical team leader, en train de jouer avec des enfants durant une consultation de la clinique mobile à Fond Palmiste. Pierre Michel Jean | K2D (Baradères, october 2021)